Mieux Prévenir

Comprendre le rapport entre la santé et l'environnement pour mieux protéger nos enfants et les générations futures.

8 juin 2012

Les jeunes et le portable : Alzheimer à 35 ans?


Voici un résumé du livre-audio, « Les jeunes et le portable : Alzheimer à 35 ans ? », publié en 2004.  L’auteur, la journaliste d'investigation scientifique, Annie Lobé, enquête depuis 2001 sur la téléphonie mobile.  Relayant les premières alertes des scientifiques, le livre s'adresse aux parents responsables qui y trouveront de (très) bonnes raisons de mettre en pratique le principe de précaution.

Le magazine « Temps présent » de la Télévision Suisse Romande a interviewé une dizaine de scientifiques pour diffuser, le 30 mars 2006, une émission intitulée : "Téléphoner peut nuire à votre santé", récapitulant les effets nocifs déjà prouvés des téléphones portables. À voir absolument ! 

Les jeunes et le portable :  Alzheimer à 35 ans ?

Ils en raffolent. Dorment avec lui, mangent avec lui. N'imaginent pas de vivre sans lui. 90 % des jeunes de 20 ans ne l'éteignent jamais, même la nuit. 6,3 % des 8-10 ans sont équipés, un pourcentage qui passe à près de 25 % chez les 10-13 ans, pour qui il est "devenu indispensable". Entre 2 et 7 ans, 35'000 enfants en possèdent. Quels seront les effets nocifs du téléphone portable sur leur cerveau et leur santé ? Relayant les premières alertes des scientifiques, ce livre s'adresse aux parents responsables qui y trouveront de (très) bonnes raisons de mettre en pratique le principe de précaution.

5 juin 2012

L'intolérance électromagnétique élucidée

Cet article a été publié par André Fauteux le 13 janvier 2012,  dans le journal canadien « Maison du 21ème siècle ».  L'explication du Syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM) par le Professeur Dominique Belpomme est plus détaillée que sa présentation donnée au 8ème Congrès national sur l'électrosmog, Berne, Suisse, 30 avril 2011.

« L’intolérance électromagnétique élucidée »

Les champs électromagnétiques (CEM) modifient sensiblement la physiologie du sang et du cerveau des personnes électrosensibles et que l’impact sur ces marqueurs biologiques augmente et diminue selon l’intensité de l’exposition. «Nous savons avec certitude que l’hypersensibilité électromagnétique n’est pas psychosomatique», nous a confirmé l’oncologue Dominique Belpomme en entrevue téléphonique. « Les CEM provoquent des effets majeurs dans le cerveau. Le plus important d’entre eux est l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique. Cela permet au mercure, aux organochlorés et à d’autres polluants de pénétrer dans le cerveau, où ils causent diverses maladies neuro-dégénératives.» 20 nouveaux patients par semaine.



Professeur d’oncologie à l’Université Paris Descartes, le Dr Belpomme est président de l’Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse (artac.info), qui s’est réorientée dans la prévention à partir de 2004. Depuis mai 2008, son équipe étudie ce qu’il a nommé le syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM). « J’ai 450 malades et je vois jusqu’à 20 nouveaux cas chaque semaine, y compris des enfants qui ont des maux de tête, des troubles de la mémoire, de la concentration ou du langage.Nous avons la plus grande série européenne de malades électrosensibles. C’est un enjeu majeur de santé publique.»