Electrosensibles aux HUG
"Ils veulent 'promouvoir la bientraitance' " aux HUG
par Meris Michaels, Courrier des lecteurs, Tribune de Genève, 2-3 avril 2016
Si l’on veut « promouvoir la bientraitance » des personnes handicapées aux HUG, il faut aussi créer des lieux sans ondes électromagnétiques (EM) pour prendre en charge les « électrosensibles » (estimés à 5% de la population). Ces personnes, sensibles au rayonnement émis par le Wi-Fi et autres technologies sans fil, ne peuvent pas être soignées aux hôpitaux car ce type de rayonnement baigne les salles de traitement et même les chambres des patients.
par Meris Michaels, Courrier des lecteurs, Tribune de Genève, 2-3 avril 2016
Si l’on veut « promouvoir la bientraitance » des personnes handicapées aux HUG, il faut aussi créer des lieux sans ondes électromagnétiques (EM) pour prendre en charge les « électrosensibles » (estimés à 5% de la population). Ces personnes, sensibles au rayonnement émis par le Wi-Fi et autres technologies sans fil, ne peuvent pas être soignées aux hôpitaux car ce type de rayonnement baigne les salles de traitement et même les chambres des patients.
Tout le monde pourrait devenir électrosensible. Dans le magazine publié en janvier par la CSS Assurance, le président des Médecins en faveur de l’environnement, Dr Peter Källin, affirme, « De plus en plus d’éléments suggèrent que la pollution électromagnétique, même inférieure aux valeurs limites, est néfaste pour la santé ». Dr Källin critique le fait que la population soit bien trop peu informée sur la façon d’utiliser les technologies sans fil en réduisant la pollution EM.