Photo d'illustration danger des ondes - téléphone portable © TimDouet |
par Antoine Sillières, lelanceur.fr,
30 mars 2017
Alors qu’en France des militants se battent pour que soient publiées les mesures du rayonnement électromagnétique de nos téléphones portables, outre-Atlantique la justice californienne a imposé au ministère de la Santé de publier les informations dont il dispose au sujet de la dangerosité de ces ondes. Des informations dont cette institution, a priori garante de la santé publique, dispose pourtant depuis de nombreuses années.
La cour suprême de Sacramento a statué début mars. Le ministère de la Santé californien devra publier ses conclusions en matière de danger des ondes émises par les téléphones portables. Logique, semble-t-il, pour une institution ayant vocation à protéger la santé publique. Or ces données sont gardées secrètes depuis 2010. Elles confirment pourtant les risques pour la santé engendrés par les champs électromagnétiques qu’émettent les téléphones portables. Une situation qui rappelle celle de la France, où les lanceurs d’alerte Marc Arazi et Fabienne Ausserre demandent la publication des mesures de ces émissions.
Alors qu’en France des militants se battent pour que soient publiées les mesures du rayonnement électromagnétique de nos téléphones portables, outre-Atlantique la justice californienne a imposé au ministère de la Santé de publier les informations dont il dispose au sujet de la dangerosité de ces ondes. Des informations dont cette institution, a priori garante de la santé publique, dispose pourtant depuis de nombreuses années.
La cour suprême de Sacramento a statué début mars. Le ministère de la Santé californien devra publier ses conclusions en matière de danger des ondes émises par les téléphones portables. Logique, semble-t-il, pour une institution ayant vocation à protéger la santé publique. Or ces données sont gardées secrètes depuis 2010. Elles confirment pourtant les risques pour la santé engendrés par les champs électromagnétiques qu’émettent les téléphones portables. Une situation qui rappelle celle de la France, où les lanceurs d’alerte Marc Arazi et Fabienne Ausserre demandent la publication des mesures de ces émissions.