Cette communication du Dr Magda Havas (www.magdahavas.com ), l'expert canadien des effets
indésirables causés sur la santé par la technologie sans fil, dit que
plusieurs écoles privées au Canada n’ont pas installé le Wi-Fi ou l’ont enlevé.
Cette tendance devrait s'étendre aux écoles publiques et aux pays à travers le
monde afin de protéger la santé de nos enfants.
UPDATE (30 octobre 2011) : L’arrêt cardiaque
chez les adolescents devient un phénomène croissant. Des enfants âgés de 10
ans ont eu un arrêt cardiaque dans des écoles où l’on a
récemment installé le Wi-Fi. Ces accdents deviennent
si courants que les enfants vont
à l’école en portant un moniteur
caridiaque. La réaction de la plupart des écoles est d' ignorer les plaintes des
enfants qui souffrent des effets du Wi-Fi sur la santé.
Wi Fi Retiré d’une école en Ontario
A Collingwood, en Ontario, une école privée a supprimé le Wi-Fi et installé la
technologie filaire. Ce sont d'excellentes nouvelles. Je souhaite que d'autres
écoles suivent cet exemple. Je comprends que les
enseignants de cette école et les parents apprécient que leurs enfants ne soient plus exposés
à des radiations micro-ondes, possiblement cancérigènes.
Je trouve inacceptable que le système scolaire public privilégie le Wi-Fi, refuse d'écouter les
parents, réduise les enseignants
au silence, ignore la recherche, et ne puisse pas
obtenir rapidement une connexion internet, alors que beaucoup de ces
écoles ont déjà un système de réseau câblé. Il semble que l'argent qui lui est
attribué ne puisse pas être utilisé pour autre chose et que les écoles suivent
comme "les moutons à l'abattoir".
En
revanche, plusieurs écoles privées, n’ont
pas 'installé de connexion Wi-Fi, ou l’ont
enlevée en raison des problèmes
de santé … Je pense que ces écoles privées ont également enseigné à leurs
élèves à réfléchir de façon indépendante, à questionner les autorités, et croire
en leurs propres convictions. Si les écoles publiques enseignent la pensée
indépendante, ils ne montrent certainement pas comment l'utiliser.