Les auteurs de ce livre, Marie Grosman et Roger Lenglet, donneront une conférence gratuite, "Notre cerveau assiégé : Alzheimer, Parkinson... les neurotoxiques en cause" à Villeurbanne, France, le 18 décembre 2014. Voir détails ici.
Le livre, « Menace
sur nos neurones » de Marie Grosman, spécialiste en santé publique et
environnementale, et Roger Lenglet, philosophe et journaliste d’investigation,
publié en 2011, est le fruit de 15 années
d’enquêtes. Il parle de l’étendue du fléau des maladies qui
affectent le cerveau et le système nerveux et les liens environnementaux avec
ces maladies : métaux lourds, pesticides, vaccins à l’aluminium
et au mercure pour les bébés, gavage médicamenteux des personnes de tous âges,
résidus des médicaments dans l’eau du robinet, amalgames, nanoparticules,
champs électromagnétiques. Nous vivons, disent-ils dans « une
société où l’on se fait ronger le cerveau ». « Les affairistes
(industries pharmaceutiques, agroalimentaires, et les assurances) transforment
la situation en un vaste marché. » … « Les politiques préfèrent
négliger les causes de l’hécatombe, mettre les moyens publics au service de
l’industrie pharmaceutique et favoriser le développement de structures privées
de prise en charge des malades... La plupart des chercheurs – partenaires
scientifiques des autorités sanitaires et politiques-, se focalisent sur des
paramètres très éloignés des causes, retardant l’action préventive et
contribuant à sa paralysie. »
Le dernier chapitre, « Que faire ? » offre des solutions :
1. Limiter
l’inhalation de substances neurotoxiques en ville, à la
campagne, à la maison, au travail.
2. Réduire l’ingestion de substances neurotoxiques par les emballages, les plastiques, l’alimentation (consommer des aliments bio ou locaux de saison pas ou peu traités), se renseigner sur la qualité de l’eau de boisson
3. Limiter l’exposition aux ondes électromagnétiques : protéger surtout les enfants, privilégier les appareils avec fil, éviter de téléphoner lors de déplacements (train, voiture), téléphoner avec une oreillette
4. Faire un « bon usage » des médicaments : rechercher la cause du trouble au lieu de vouloir en atténuer les conséquences, lire les notices des médicament; les revues indépendantes, « Prescrire » et « Practiques, » apportent de précieuses informations.
5. Limiter l’exposition aux neurotoxiques présents dans les soins dentaires et les vaccins : refuser la pose d’amalgames et regarder la composition des vaccins pour éviter ceux qui contiennent le thimérosal et les sel d’aluminium
6. Rechercher les causes de sa maladie : s'informer auprès d’associations de patients indépendantes du lobby pharmaceutique et rechercher des médecins ou professionnels de la santé formés au diagnostic d’intoxications chroniques d’origine environnementale
7. Se détoxifier
8. S’engager dans les actions collectives : rejoindre des associations locales et nationales mobilisées sur les questions de santé environnementale afin de faire progresser la prévention.
Le livre termine par ces mots : il faut « que des forces citoyennes se mobilisent et contraignent les politiques à accepter la démocratie sanitaire qu’il faut bâtir ensemble. Cela passera par une remise en question d’un système de santé exclusivement centré sur l’approche thérapeutique », et cette question cynique : « Les politiques attendent-ils que les entreprises aient trouvé comment transformer la prévention en argent pour enfin la soutenir ? »
par Meris Michaels
2. Réduire l’ingestion de substances neurotoxiques par les emballages, les plastiques, l’alimentation (consommer des aliments bio ou locaux de saison pas ou peu traités), se renseigner sur la qualité de l’eau de boisson
3. Limiter l’exposition aux ondes électromagnétiques : protéger surtout les enfants, privilégier les appareils avec fil, éviter de téléphoner lors de déplacements (train, voiture), téléphoner avec une oreillette
4. Faire un « bon usage » des médicaments : rechercher la cause du trouble au lieu de vouloir en atténuer les conséquences, lire les notices des médicament; les revues indépendantes, « Prescrire » et « Practiques, » apportent de précieuses informations.
5. Limiter l’exposition aux neurotoxiques présents dans les soins dentaires et les vaccins : refuser la pose d’amalgames et regarder la composition des vaccins pour éviter ceux qui contiennent le thimérosal et les sel d’aluminium
6. Rechercher les causes de sa maladie : s'informer auprès d’associations de patients indépendantes du lobby pharmaceutique et rechercher des médecins ou professionnels de la santé formés au diagnostic d’intoxications chroniques d’origine environnementale
7. Se détoxifier
8. S’engager dans les actions collectives : rejoindre des associations locales et nationales mobilisées sur les questions de santé environnementale afin de faire progresser la prévention.
Le livre termine par ces mots : il faut « que des forces citoyennes se mobilisent et contraignent les politiques à accepter la démocratie sanitaire qu’il faut bâtir ensemble. Cela passera par une remise en question d’un système de santé exclusivement centré sur l’approche thérapeutique », et cette question cynique : « Les politiques attendent-ils que les entreprises aient trouvé comment transformer la prévention en argent pour enfin la soutenir ? »
par Meris Michaels
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