Mieux Prévenir

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2 déc. 2011

Témoignage bouleversant: antennes de la téléphonie mobile à Genève

Ce témoignage vient de Jean-Luc, qui a souffert de nombreux problèmes de santé après l’installation d’une antenne de téléphonie mobile sur le toit de son immeuble à Genève. L'antenne se trouvait directement en-dessus de sa chambre à coucher.

Jean-Luc a été à l'assurance entre 1999 et 2004, suite à un accident et une nécrose de l'os.

"En 2000, je suis devenue de plus en plus insomniaque, nerveux et angoissé ... En 2003,  mon chien âgé de 3 ans a fait une attaque … J’ai pris un 2ème chien qui est décédé à l’âge de 3 ans… Depuis 2003 j’ai cumulé les symptômes, décrits a de multiples endroits sur Internet par les électro-sensibles et selon des études épidémiologiques, tels que : vertiges, nausées, … tachycardie, maux de tête dans le haut de la nuque, troubles de la circulation… J’ai eu des troubles de la concentration et de la mémoire, parfois carrément des blancs … Atteintes fréquentes de dyslexie … Les chiens avaient un comportement anormal, ne voulaient pas monter les derniers étages, l’un était pris de tremblements, de crise de panique …Tous (mes) maux ont persisté jusqu’en 2006, date à laquelle j’ai fait un infarctus, à 37 ans ! … »


Je signale ce témoignage bouleversant dans l’espoir que les habitants de Genève le lisent. Récemment et bien qu'ayant  reçu des informations sur les  effets nocifs potentiels des antennes, les habitants d’un immeuble en face de chez moi dans le quartier de Charmilles, Genève, n'ont contesté pas l’installation de deux antennes GSM/UMTS sur leur toit. Elles se trouvent de 100 à 200 mètres de mon appartement. Depuis 2009, je souffre de nombreux symptômes semblables à ceux décrits dans ce témoignage.


Les deux antennes rapportent 25 000 francs suisses par an. Les charges des habitants,  de l’immeuble, certains étant copropriétaires, seront peut-être diminuées grâce à ce gain .  C'est triste que les gens ne pensent qu'à l’argent, alors que la santé n’a pas de prix.

Je remercie Marc Filterman, Membre du Comité scientifique de CRIREM, pour son autorisation de mettre ce témoignage sur mon site.  (L'article complet a disparu.)

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