"Bientôt, il n'y aura plus un endroit sur terre qui ne sera pas envahi par l'électrosmog. Plus un centimètre carré d'où vous ne pourrez plus texter à votre douce la description du pet' que vous avez fait ce matin en vous réveillant. Nulle part d'où on ne pourra pas appeler une ambulance... parce que la mort rôde, mieux vaut prévenir, n'est-ce pas !? Il y a des ados qui font des crises cardiaques dans des écoles secondaires dotées d'un réseau WiFi. On n'a jamais vu autant de jeunes enfants mourir de leucémie et de tumeurs cérébrales depuis une décennie. Mais là, faut que je m'arrête... parce que faut pas faire peur au monde. Le monde, quand il a trop peur, il se réfugie dans le déni et préfère garder son cellulaire sous son oreiller ..."
Le 5 octobre 2012
Voici ma réaction viscérale et émotive devant les drames qui se pointent à l'horizon avec la venue des compteurs-émetteurs au Québec.
« Vous êtes pas écoeurés de mourir bande de caves ! C'est assez ! » - Claude Péloquin - C'est ce que j'ai envie de hurler à la tête des gens qui osent encore me dire sérieusement que rien n'est prouvé quant aux dangers des téléphones cellulaires et des effets toxiques et réels des compteurs-émetteurs, ZigBee, routeurs puissants des voisins, routeurs et collecteurs des compteurs, antennes-relais, hot spots, du WiFi dans les écoles, dans les parcs, les autobus publics et scolaires, wagons du métro ainsi que pour les parcomètres et lampadaires et tutti quanti, bref, que tout cela reste controversé, sans plus.
J'ai aussi envie de cracher cette exclamation déchirante de Péloquin au visage de ceux qui croient naïvement qu'une industrie qui génère des milliards de dollars de profits pourrait docilement accepter de commander des études objectives sur ses propres produits de consommation. De l'enfoncer aussi à travers le coeur de l'insensible qui me dit « moi, je sens rien; ça me rend pas malade »... pendant que je pleure de désespoir en écoutant et en lisant nos médias donner la parole aux vendus et pseudo-scientifiques de l'industrie qui ne ratent pas une occasion de semer la désinformation, le doute et la controverse dans l'esprit de ceux qui ne vivent que par et pour ces technologies.
Mais je suis une femme bien élevée, je me contiens et je tente de discuter doucement, calmement et intelligemment avec celui ou celle qui ne se sent pas bien depuis peu, qui souffre soudainement d'insomnies (« ça fait trois nuits que je me réveille à 4 h du matin et que je ne me rendors pas ! »), d'acouphènes (« ça bourdonne dans mes oreilles-je deviens fou ! »), de maux de têtes plus fréquents et plus intenses (« pourtant, je n'ai pas bu hier »), de troubles digestifs (« j'ai l'air d'une femme enceinte de douze mois »), de problèmes de concentration (« koudonc, j'suis-tu en train de devenir Alzheimer ? ») ou de palpitations cardiaques inexplicables (« j'suis assise dans mon fauteuil et mon coeur bat comme si je venais de courir dix kilomètres »). Vous savez, parfois, l'oreille souffrante est plus attentive aux conseils qui pourraient la soulager qu'un ado sur son Xbox en passe de devenir le champion mondial des combats entre armées extraterrestres.
Il faut commencer par expliquer la victoire presque absolue de la campagne de dénigrement médiatique, politique, économique et sociale menée contre le consensus scientifique mondial actuel, qui ne cesse de plus de se confirmer et de s'étendre. Il faut ensuite faire comprendre que pour chaque scientifique payé par l'industrie des technologies sans fil, qui vit grassement dans le mensonge de ses études tronquées, truquées, déformées et remaniées (ça ne vous fait pas penser à l'amiante, la cigarette et le DDT ?!), des centaines d'autres scientifiques vivent dans la pauvreté et le mal-être de ceux qui savent mais qui n'ont pas les moyens de tenir tête à ces industriels sans scrupules. Parce qu'ils savent bien que ces multinationales richissimes les poursuivront, les diffameront, les ridiculiseront, leur feront perdre leur subventions en versant de généreux dons à l'établissement universitaire qui les abrite en échange de leur discrédit, voire de leur congédiement. Eh oui... les ravages plus qu'inquiétants de ces technologies sur des rats, souris, mouches, ¦ufs de poulet et f¦tus animaux et humains déformés, qui ont été observés à maintes reprises aux alentours et à l'intérieur des champs électromagnétiques, sont biens réels. Ce n'est pas de la science-fiction et ça s'en vient près de chez vous.
Bientôt, il n'y aura plus un endroit sur terre qui ne sera pas envahi par l'électrosmog. Plus un centimètre carré d'où vous ne pourrez plus texter à votre douce la description du pet' que vous avez fait ce matin en vous réveillant. Nulle part d'où on ne pourra pas appeler une ambulance... parce que la mort rôde, mieux vaut prévenir, n'est-ce pas !? Il y a des ados qui font des crises cardiaques dans des écoles secondaires dotées d'un réseau WiFi. On n'a jamais vu autant de jeunes enfants mourir de leucémie et de tumeurs cérébrales depuis une décennie. Mais là, faut que je m'arrête... parce que faut pas faire peur au monde.
Le monde, quand il a trop peur, il se réfugie dans le déni et préfère garder son cellulaire sous son oreiller plutôt que de commencer à se demander pourquoi le Code de sécurité 6 (norme canadienne d'exposition des êtres humains à la puissance des micro-ondes) serait dix mille fois plus contraignant en Russie qu'ici ? C'est comme si en Russie, on disait qu'il est dangereux de tomber d'un mètre, alors qu'au Canada, une chute de dix mille mètres serait sans danger ! Pensez-y deux minutes; ça ne vous donne pas envie de vous poser des questions ? Dans l'affirmative, faites-vous votre propre opinion, posez des questions, lisez, fouillez, comparez, cherchez à savoir.
Je continue cependant malgré tout de croire que nous aurons la sagesse d'adopter le principe de précaution en attendant d'établir des normes d'exposition véritablement sécuritaires, afin de procéder à un déploiement intelligent de ces merveilleuses et indispensables technologies sans fil*. D'ailleurs, ne vous méprenez pas à mon sujet, je travaille à l'ordinateur et j'adore Internet haute vitesse ! Je travaille toutefois avec un système filaire, dont l'innocuité est avérée.
Lorsque la vérité sortira enfin de l'ombre et du contrôle d'industriels multimilliardaires sans foi ni loi, quand vous saurez de quoi il s'agit quand on parle des effets sur le vivant des irradiations provenant des cellulaires, des compteurs-émetteurs, de la ZigBee, des routeurs puissants des voisins, des routeurs et collecteurs des compteurs, des antennes-relais, des hot spots, du WiFi dans les écoles, parcs, autobus publics et scolaires et wagons du métro et pour les parcomètre et lampadaires, etc., vous vous sentirez beaucoup mieux et vous cesserez de mourir, bande de caves !
Ceci dit, sachez-le, avec ma plus tendre bienveillance,
Kathya Heppell (kheppell@axion.ca) Sutton
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.