Puce RFID, l’humanité sous contrôle.
Fréquence lumière, 21 août 2015
La micro-puce sous-cutanée RFID (″radio frequency identification″ ou ″dispositif d’identification par radiofréquence″) ne date pas d'hier, cela fait plus de 40 ans que l'on travaille dessus. Déjà surnommée ″puce-espionne″, elle commence à être imposée dans certains pays et promet des risques majeures pour les libertés et la santé des individus.
Introduction.
Les puces électroniques sont aujourd'hui devenues si ″banales″ que nous n'y prêtons même plus attention. Elles sont partout : dans nos machines à calculer, nos ordinateurs, nos appareils ménagers etc. Nous les trouvons aussi sur nos cartes de banques, nos cartes de sécurité sociale, nos cartes d'identité, nos clés de voiture et de multiples autres supports.
Il existe un type de micro-puce plus spécifique qui se place par exemple sur les produits de consommation, pour des raisons ″de logistique″ : les micro-puces RFID.
Mieux Prévenir
Comprendre le rapport entre la santé et l'environnement pour mieux protéger nos enfants et les générations futures.
23 oct. 2015
22 oct. 2015
Pétition : Statines et autres médicaments contre le cholestérol : les Autorités de Santé doivent ré-examiner les données scientifiques !!
Statines (image choisie par la Rédactrice de "Mieux Prévenir") |
Les statines pour diminuer le cholestérol sont toxiques et augmentent le risque de cancer, de diabète, de cécité, de troubles sexuels, de problèmes rénaux, musculaires, tendineux et ligamentaires, de pathologies inflammatoires et d'hémorragies cérébrales, c'est un scandale sanitaire épouvantable, selon le cardiologue Michel de Lorgeril.
Ecoutez son exposé sur les statines et signez la pétition : plus de 258'000 signatures au
31 octobre 2015.
Mesdames, Messieurs,
Alors que se multiplient les études, recherches et ouvrages alarmants sur les médicaments contre le cholestérol, des millions de patients en France sont confrontés à un choix dramatique.
Ecoutez son exposé sur les statines et signez la pétition : plus de 258'000 signatures au
31 octobre 2015.
Statines et autres médicaments contre le cholestérol : les Autorités de Santé doivent ré-examiner les données scientifiques !!
Pétitionà l'attention
des responsables de l'Assurance-Maladie et de l'Agence Nationale du Médicament (ANSES).
Alors que se multiplient les études, recherches et ouvrages alarmants sur les médicaments contre le cholestérol, des millions de patients en France sont confrontés à un choix dramatique.
20 oct. 2015
Santé en France: «Il y a une explosion des pubertés précoces liée aux perturbateurs endocriniens»
Le professeur Charles Sultan. - Extrait du documentaire de France 3. |
INTERVIEW Un documentaire sur les inégalités des français face à la santé est diffusé ce lundi soir [19 octobre 2015] sur France 3*. Charles Sultan du CHRU de Montpellier s’inquiète de l’impact néfaste des perturbateurs endocriniens sur la santé…
Propos recueillis par Nicolas Bonzom, 20minutes.fr, 19 octobre 2015
Depuis vingt ans, Charles Sultan alerte les pouvoirs publics sur l’impact néfaste des perturbateurs endocriniens sur notre santé. Le travail de recherche du professeur du CHRU de Montpellier, spécialiste français dans ce domaine, a fait le tour du monde. Ce lundi (20 h 50), il intervient dans La santé en France, Enquête sur les inégalités, un documentaire diffusé sur France 3. 20 Minutes l’a rencontré.
Depuis vingt ans, Charles Sultan alerte les pouvoirs publics sur l’impact néfaste des perturbateurs endocriniens sur notre santé. Le travail de recherche du professeur du CHRU de Montpellier, spécialiste français dans ce domaine, a fait le tour du monde. Ce lundi (20 h 50), il intervient dans La santé en France, Enquête sur les inégalités, un documentaire diffusé sur France 3. 20 Minutes l’a rencontré.
Qu’est-ce qu’un perturbateur endocrinien ?
C’est une substance chimique, qui est créée par l’Homme, et qui est capable d’interagir avec les hormones : on peut citer les pesticides, les plastiques, tel que le bisphénol, les OGM, les métaux lourds ou les hormones femelles, que l’on trouve dans l’eau des rivières, qui relèvent des prescriptions de la ménopause ou de la contraception.
C’est une substance chimique, qui est créée par l’Homme, et qui est capable d’interagir avec les hormones : on peut citer les pesticides, les plastiques, tel que le bisphénol, les OGM, les métaux lourds ou les hormones femelles, que l’on trouve dans l’eau des rivières, qui relèvent des prescriptions de la ménopause ou de la contraception.
17 oct. 2015
Électrosensibilité et effet nocebo : Le paradoxe de l’œuf et de la poule
Électrosensibilité et effet nocebo : Le paradoxe de l’œuf et de la poule
jay, electrosensible.info, 16 octobre 2015
Traduction de l’article : « Electromagnetic Hyper-Sensitivity and Nocebo: What was first – “the chicken or the egg” ?
Auteur : Professeur Dariusz Leszczynski
Source : betweenrockandhardplace.wordpress.com
Dans l’hypothèse de l’effet nocebo, il est avancé que les gens prennent conscience en premier, grâce aux journaux ou aux médias sociaux, des possibles risques sanitaires des objets émetteurs de champs électromagnétiques et par la suite les craintes sur ces risques conduisent à développer des symptômes qui sont attribués à l’exposition aux ondes électromagnétiques. Induisant que c’est la connaissance des risques sanitaires qui précède le développement des symptômes de l’électrosensibilité. Cet ordre des choses conduit à l’argumentation que l’électrosensibilité est une maladie psychologique voire même psychiatrique, n’ayant aucun lien avec l’exposition aux ondes. Ces gens souffrent mais ils associent à tort leurs souffrances avec les ondes. C’est le point de vue dominant de l’ICNIRP et de ses « apôtres » comme avec le projet EMF de l’Organisation Mondial de la Santé.
jay, electrosensible.info, 16 octobre 2015
Traduction de l’article : « Electromagnetic Hyper-Sensitivity and Nocebo: What was first – “the chicken or the egg” ?
Auteur : Professeur Dariusz Leszczynski
Source : betweenrockandhardplace.wordpress.com
Dans l’hypothèse de l’effet nocebo, il est avancé que les gens prennent conscience en premier, grâce aux journaux ou aux médias sociaux, des possibles risques sanitaires des objets émetteurs de champs électromagnétiques et par la suite les craintes sur ces risques conduisent à développer des symptômes qui sont attribués à l’exposition aux ondes électromagnétiques. Induisant que c’est la connaissance des risques sanitaires qui précède le développement des symptômes de l’électrosensibilité. Cet ordre des choses conduit à l’argumentation que l’électrosensibilité est une maladie psychologique voire même psychiatrique, n’ayant aucun lien avec l’exposition aux ondes. Ces gens souffrent mais ils associent à tort leurs souffrances avec les ondes. C’est le point de vue dominant de l’ICNIRP et de ses « apôtres » comme avec le projet EMF de l’Organisation Mondial de la Santé.
11 oct. 2015
"Le Gardasil sera le plus grand scandale de tous les temps" : Interview avec le Dr Bernard Dalbergue
Dr Bernard Dalbergue : "Je prédis que le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps. Parce qu’à un moment on va prouver par A + B que ce vaccin, pour prouesse technique et scientifique qu’il soit, n’a aucun effet sur le cancer du col de l’utérus et que les très nombreux cas d’effets indésirables qui détruisent des vies, voire tuent, ne sont là que pour le seul profit des laboratoires."
"Le Gardasil sera le plus grand scandale de tous les temps"
Interview avec le Dr Bernard Dalbergue
J.-B. Talmont et C. Parinaud, Principes de santé, no. 66, avril 2014
Médecin hospitalier le temps de son internat, Bernard Dalbergue s’est vite laissé séduire par le confort des laboratoires pharmaceutiques. Moins de cris, de douleurs, de mort. Les costumes, les belles voitures, l’argent, les malversations coulent à flot. Jusqu’au moment où sa conscience semble s’être réveillée et qu’il a balancé toutes les manœuvres dans un livre.
Principes de Santé : Vous avez passé vingt ans dans les laboratoires comme médecin «supervisiteur» médical, chargé, entre autres, de séduire les pontes des CHU. Vous vous justifiez de révéler les pratiques de votre laboratoire par la dégradation des «pratiques douteuses» depuis ces dix dernières années. Qu’est-ce qui s’est dégradé à ce point?
"Le Gardasil sera le plus grand scandale de tous les temps"
Interview avec le Dr Bernard Dalbergue
J.-B. Talmont et C. Parinaud, Principes de santé, no. 66, avril 2014
Médecin hospitalier le temps de son internat, Bernard Dalbergue s’est vite laissé séduire par le confort des laboratoires pharmaceutiques. Moins de cris, de douleurs, de mort. Les costumes, les belles voitures, l’argent, les malversations coulent à flot. Jusqu’au moment où sa conscience semble s’être réveillée et qu’il a balancé toutes les manœuvres dans un livre.
Principes de Santé : Vous avez passé vingt ans dans les laboratoires comme médecin «supervisiteur» médical, chargé, entre autres, de séduire les pontes des CHU. Vous vous justifiez de révéler les pratiques de votre laboratoire par la dégradation des «pratiques douteuses» depuis ces dix dernières années. Qu’est-ce qui s’est dégradé à ce point?
Les pratiques du laboratoire pharmaceutique Merck en accusation
Les pratiques du laboratoire pharmaceutique Merck en accusation
par Chloé Hecketsweiler, Le Monde.fr, 4 février 2015
C'est dans l'un des petits bureaux de Flammarion, place de l'Odéon, qu'a lieu la rencontre. Alors que son livre choc, Omerta dans les labos pharmaceutiques : confessions d'un médecin (Flammarion, 300 p., 19 euros), sort mercredi 5 février, Bernard Dalbergue, a l'air d'un homme fatigué après un long chemin. Cheveux gris blond, yeux bleus délavés assortis à sa chemise, il porte encore le costume bleu sombre et la cravate à larges rayures qui fut son uniforme pendant plus de vingt ans au service de l'industrie pharmaceutique.
Employé jusqu'en 2011 par l'américain Merck (MSD en France), ce médecin de 55 ans lève aujourd'hui le voile sur des pratiques inquiétantes : essais cliniques biaisés, effets secondaires dissimulés, experts achetés. Selon lui, le laboratoire a enfreint beaucoup de règles pour faire le succès de ses médicaments.
Actuellement en procès avec MSD, il assure ne pas agir par esprit de vengeance. « Il y a certes beaucoup de médicaments inutiles, voire dangereux, mais globalement ils sauvent des millions de vies », défend Bernard Dalbergue. « La grande majorité des industriels est honnête, mais quelques-uns sont à l'origine de dérapages inacceptables », poursuit-il.
par Chloé Hecketsweiler, Le Monde.fr, 4 février 2015
C'est dans l'un des petits bureaux de Flammarion, place de l'Odéon, qu'a lieu la rencontre. Alors que son livre choc, Omerta dans les labos pharmaceutiques : confessions d'un médecin (Flammarion, 300 p., 19 euros), sort mercredi 5 février, Bernard Dalbergue, a l'air d'un homme fatigué après un long chemin. Cheveux gris blond, yeux bleus délavés assortis à sa chemise, il porte encore le costume bleu sombre et la cravate à larges rayures qui fut son uniforme pendant plus de vingt ans au service de l'industrie pharmaceutique.
Employé jusqu'en 2011 par l'américain Merck (MSD en France), ce médecin de 55 ans lève aujourd'hui le voile sur des pratiques inquiétantes : essais cliniques biaisés, effets secondaires dissimulés, experts achetés. Selon lui, le laboratoire a enfreint beaucoup de règles pour faire le succès de ses médicaments.
Actuellement en procès avec MSD, il assure ne pas agir par esprit de vengeance. « Il y a certes beaucoup de médicaments inutiles, voire dangereux, mais globalement ils sauvent des millions de vies », défend Bernard Dalbergue. « La grande majorité des industriels est honnête, mais quelques-uns sont à l'origine de dérapages inacceptables », poursuit-il.
9 oct. 2015
Vaccins: l'endoctrinement commence dès l'université
Edith Gallay, Présidente de l’association Spasmophilie Entraide, Genève |
par Edith Gallay, Présidente de l’association Spasmophilie Entraide, Genève, septembre 2015
Grâce à un matraquage éhonté, une rumeur bien étayée par une apparence scientifique et bien diffusée par les commerciaux, grâce aux techniques de communication, peut désormais charpenter un discours planétaire afin de justifier certaines décisions gouvernementales. (Dr Boris Cyrulnik – Médecin psychiatre)
Préambule
La faculté de médecine de Genève est aujourd’hui le temple et le siège du dogme politiquement correct, la vaccination sa nouvelle religion et sa papesse, la doctoresse Claire-Anne Siegrist. Les sceptiques sont considérés comme membres de sectes1 hérétiques et les médecins dissidents comme de vulgaires charlatans. C’est une vision réductionniste.
« Le dogme réductionniste mène à une « intelligence parcellaire, compartimentée, mécaniste, disjonctive, qui brise le complexe du monde en fragments disjoints, fractionne les problèmes, sépare ce qui est relié... Qu’il s’agit là, d’une intelligence à la fois myope, presbyte, daltonienne, borgne ; qui finit le plus souvent par être aveugle. Elle détruit dans l’œuf toutes les possibilités de compréhension et de réflexion, éliminant aussi toutes chances d’un jugement correctif ou d’une vue à long terme...Incapable d’envisager le contexte..., l’intelligence réductionniste aveugle rend inconscient et irresponsable. » Edgar Morin - Le besoin d’une pensée complexe, in 1966-1996, La passions des idées », Magazine littéraire, Hors-série, décembre 1996.
8 oct. 2015
Perturbateurs endocriniens : comment les lobbys ont gagné
Les perturbateurs vont se nicher dans les cosmétiques, détergents, plastiques et autres film alimentaires, jouets et certains médicaments. Photo: Christophe Maout pour "Libération" |
par Eric Favereau, liberation.fr, 7 octobre 2015
Menace majeure pour la santé, et notamment la fertilité, les agents hormonaux sont l’objet d’une âpre bataille à Bruxelles. Un livre décrit les méthodes des industriels qui ont obtenu de la Commission européenne qu’elle impose l’inaction.
Les données sont connues, brutales : la qualité du sperme s’est effondrée de moitié en cinquante ans, ou encore le nombre de diabètes a doublé en vingt ans dans les pays riches, et certains cancers explosent. Les causes ? Variées sûrement. Il n’empêche, pour la communauté scientifique, il ne fait guère de doute que ces perturbateurs endocriniens (PE) jouent un rôle essentiel.
Et voilà que face à cette catastrophe annoncée, il ne se passe rien. Un livre, Intoxication , écrit par Stéphane Horel, sort ce jeudi. Et revient sur un épisode récent (entre 2010 et fin 2013) et largement occulté, qui explique en grande partie l’immobilisme actuel : la guerre qui a eu lieu au sein des directions de la Commission européenne et qui a abouti à un enterrement du dossier. Ou plus exactement, dans le jargon, à lancer une «étude d’impact» qui a permis de repousser les échéances. Une histoire qui révèle les terribles batailles d’influence autour de la santé à Bruxelles. Stéphane Horel est unique. Les lobbys, c’est son domaine. Journaliste de formation, elle ne se lasse pas de farfouiller, dénicher et accumuler des milliers de pages autour de cesdits perturbateurs endocriniens. «Je passe des heures, des jours et des nuits à tout lire pour essayer de comprendre en direct ce qui se passe, et comment travaillent en direct les lobbys de toutes sortes», explique-t-elle.
Les données sont connues, brutales : la qualité du sperme s’est effondrée de moitié en cinquante ans, ou encore le nombre de diabètes a doublé en vingt ans dans les pays riches, et certains cancers explosent. Les causes ? Variées sûrement. Il n’empêche, pour la communauté scientifique, il ne fait guère de doute que ces perturbateurs endocriniens (PE) jouent un rôle essentiel.
Et voilà que face à cette catastrophe annoncée, il ne se passe rien. Un livre, Intoxication , écrit par Stéphane Horel, sort ce jeudi. Et revient sur un épisode récent (entre 2010 et fin 2013) et largement occulté, qui explique en grande partie l’immobilisme actuel : la guerre qui a eu lieu au sein des directions de la Commission européenne et qui a abouti à un enterrement du dossier. Ou plus exactement, dans le jargon, à lancer une «étude d’impact» qui a permis de repousser les échéances. Une histoire qui révèle les terribles batailles d’influence autour de la santé à Bruxelles. Stéphane Horel est unique. Les lobbys, c’est son domaine. Journaliste de formation, elle ne se lasse pas de farfouiller, dénicher et accumuler des milliers de pages autour de cesdits perturbateurs endocriniens. «Je passe des heures, des jours et des nuits à tout lire pour essayer de comprendre en direct ce qui se passe, et comment travaillent en direct les lobbys de toutes sortes», explique-t-elle.
Cancers, diabète, infertilité…
6 oct. 2015
Polynésie française : Proposition de « loi du pays » tendant à protéger la population en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques
Les rapporteurs (de gauche à droite) : Dr Jean-François WIART et Mme Diana YIENG KOW. |
CESC : Ondes électromagnétiques et fonds paritaire de gestion
CESC - Conseil Economique, Social et Culturel de la Polynésie française,
1er octobre 2015
Jeudi 1er octobre 2015. Les membres du Conseil économique, social et culturel (CESC) ont été réunis en séance plénière pour rendre l’avis de l’institution sur deux projets de texte soumis à sa consultation.
Proposition de « loi du pays » tendant à protéger la population en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques
De manière générale, l’exposition des populations aux ondes électromagnétiques est une problématique peu connue qui manque de transparence et d’information auprès des concitoyens.
La législation française est encore très récente (février 2015) et connaît déjà des révisions actuellement en discussion devant le Parlement.
Journal d’une électrosensible : le choc de la découverte
Journal d’une électrosensible : le choc de la découverte
par Hélène Vadeboncoeur, Maison du 21e siècle,
par Hélène Vadeboncoeur, Maison du 21e siècle,
6 octobre 2015
Le nouveau blogue d’Hélène Vadeboncoeur, Ph.D., chercheuse dans le domaine de la santé et électrohypersensible
Je m’étonne toujours quand j’entends des sceptiques dire : « Oui, mais c’est parce que ceux qui se disent électrohypersensibles[1] savent que leur compteur[2] vient d’être changé et donc ils s’imaginent ensuite qu’ils ont des symptômes. » Eh bien, contrairement à ce qu’insinue ce jugement facile, ce n’est pas le cas.
Les électrohypersensibles sont des personnes dont l’organisme subit des effets biologiques à plus ou moins brève échéance après une faible ou forte exposition aux radiofréquences (RF) de type micro-ondes émises par les équipements de technologie sans fil. Et ils ne s’en aperçoivent pas toujours, ou pas avant un certain temps. Trois à dix pour cent de la population serait déjà atteinte de cette intolérance aux ondes, selon le chercheur et oncologue français Dominique Belpomme, et ce pourcentage pourrait augmenter, avec la multiplication des sources de radiofréquences tant en ville qu’en région rurale.
Le nouveau blogue d’Hélène Vadeboncoeur, Ph.D., chercheuse dans le domaine de la santé et électrohypersensible
Je m’étonne toujours quand j’entends des sceptiques dire : « Oui, mais c’est parce que ceux qui se disent électrohypersensibles[1] savent que leur compteur[2] vient d’être changé et donc ils s’imaginent ensuite qu’ils ont des symptômes. » Eh bien, contrairement à ce qu’insinue ce jugement facile, ce n’est pas le cas.
Les électrohypersensibles sont des personnes dont l’organisme subit des effets biologiques à plus ou moins brève échéance après une faible ou forte exposition aux radiofréquences (RF) de type micro-ondes émises par les équipements de technologie sans fil. Et ils ne s’en aperçoivent pas toujours, ou pas avant un certain temps. Trois à dix pour cent de la population serait déjà atteinte de cette intolérance aux ondes, selon le chercheur et oncologue français Dominique Belpomme, et ce pourcentage pourrait augmenter, avec la multiplication des sources de radiofréquences tant en ville qu’en région rurale.
« Les compteurs intelligents causent le cancer » – Igor Belyaev, chef du laboratoire de radiobiologie de l’Académie des sciences russe
Igor Belyaev, sommité en effets biologiques des champs électromagnétiques |
par André Fauteux, éditeur et le rédacteur en chef, Maison du 21e siécle, 5 octobre 2015
La science du déni : si on ne cherche pas, on ne trouve pas.
Le docteur en radiobiologie Igor Belyaev s’ennuie du bon vieux temps socialiste. « C’était bien mieux à l’époque soviétique, alors qu’on voulait développer la technologie en se préoccupant de la sécurité des gens. Les normes russes [d’exposition aux radiofréquences ou RF] sont plus saines mais aujourd’hui on les rejette parce qu’aucun téléphone cellulaire ne les respecte », m’expliquait cette sommité en effets des champs électromagnétiques (CEM) en mai dernier à Bruxelles. Belyaev était l’un des conférenciers vedettes (lire sa présentation ici) du 5e Colloque de l’Appel de Paris, tenu à l’Académie de médecine belge, et qui portait sur les hypersensibilités environnementales.
5 oct. 2015
Des médecins sonnent l'alerte sur les perturbateurs endocriniens
Des bébés "pré-pollués", selon l'Institut national du cancer américain. Crédit: [Ludovic Hirlimann / flickr.com] |
Des médecins sonnent l'alerte sur les perturbateurs endocriniens
par Romain Loury, Journal de l'environnement, 2 octobere 2015
Les gynécologues-obstétriciens sont vent debout contre les perturbateurs endocriniens : jeudi 1er octobre, leur fédération internationale a publié un premier appel en ce sens, où ils conseillent notamment aux femmes enceintes de manger bio. En France, les médecins peinent à s’y mettre.
Soutenue par deux associations, WECF et HEAL [1], cette déclaration de la fédération internationale des gynécologues-obstétriciens (Figo), publiée dans l’International Journal of Gynecology and Obstetrics à quelques jours de son congrès annuel à Vancouver (du 4 au 9 octobre), est sans conteste une nouvelle étape dans la reconnaissance de ce fardeau sanitaire. Premier appel médical de cette ampleur, il rappelle les dégâts liés à la pollution chimique pour la femme enceinte et l’enfant à naître, dont les médecins sont les premiers témoins.
par Romain Loury, Journal de l'environnement, 2 octobere 2015
Les gynécologues-obstétriciens sont vent debout contre les perturbateurs endocriniens : jeudi 1er octobre, leur fédération internationale a publié un premier appel en ce sens, où ils conseillent notamment aux femmes enceintes de manger bio. En France, les médecins peinent à s’y mettre.
Soutenue par deux associations, WECF et HEAL [1], cette déclaration de la fédération internationale des gynécologues-obstétriciens (Figo), publiée dans l’International Journal of Gynecology and Obstetrics à quelques jours de son congrès annuel à Vancouver (du 4 au 9 octobre), est sans conteste une nouvelle étape dans la reconnaissance de ce fardeau sanitaire. Premier appel médical de cette ampleur, il rappelle les dégâts liés à la pollution chimique pour la femme enceinte et l’enfant à naître, dont les médecins sont les premiers témoins.
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