Sosthène Berger, avec son électrosmogmètre dans la main, vit mal le fait de devoir s'accoutrer de cette façon dès qu'il met un pied hors chez lui. Image: Sandro Campardo |
par Cléa Favre, Le Matin,
28 décembre 2013
[Voir le site de Sosthène Berger :
www.gigasmog.ch]
TÉMOIGNAGE - Alors que la France est sur le point de créer une zone blanche pour les protéger, les personnes électrosensibles vivant en Suisse restent souvent considérées comme des fous.
Sosthène Berger, 49 ans, reçoit «Le Matin» au fond de son jardin à La Neuveville (BE). Là où il a égrainé les jours entre avril et octobre 2011, n’accédant à sa maison que pour se doucher et dormir. C’est cette année-là que l’ingénieur a découvert qu’il était «électrosensible». Tout à coup, wi-fi, téléphones portables, tablettes et même aspirateur, perceuse ou machine à coudre ont fait de son existence un enfer. Depuis, il vit dans un chantier permanent afin de se prémunir au mieux des ondes électromagnétiques.
[Voir le site de Sosthène Berger :
www.gigasmog.ch]
TÉMOIGNAGE - Alors que la France est sur le point de créer une zone blanche pour les protéger, les personnes électrosensibles vivant en Suisse restent souvent considérées comme des fous.
Sosthène Berger, 49 ans, reçoit «Le Matin» au fond de son jardin à La Neuveville (BE). Là où il a égrainé les jours entre avril et octobre 2011, n’accédant à sa maison que pour se doucher et dormir. C’est cette année-là que l’ingénieur a découvert qu’il était «électrosensible». Tout à coup, wi-fi, téléphones portables, tablettes et même aspirateur, perceuse ou machine à coudre ont fait de son existence un enfer. Depuis, il vit dans un chantier permanent afin de se prémunir au mieux des ondes électromagnétiques.