Mieux Prévenir

Comprendre le rapport entre la santé et l'environnement pour mieux protéger nos enfants et les générations futures.

8 févr. 2014

Liens entre cancer et environnement: Résumé de la Conférence du Professeur Belpomme, Fillinges, 17 janvier 2014


« Que faire et comment se protéger face à une société corrompue financièrement, biologiquement et moralement ? »

Le Professeur Dominique Belpomme a donné une conférence le 17 janvier 2014 à Fillinges, « Liens entre cancer et environnement ». Voici le texte résumé par Edith Gallay, Présidente de l’Association Spasmophilie Entraide à Genève :


Voici résumé l’essentiel du propos du Professeur Belpomme : « Dès qu’on parle d’appliquer le système de précaution, on nous répond : « Tout va très bien Madame la Marquise, c’est pas grave puisqu’on a des moyens pour mieux soigner les cancéreux ! »

Aujourd’hui, la vraie recherche française est dans le coma. La prévention devrait faire intégralement partie de la formation médicale, qui pour le moment ne s’occupe que des effets des maladies et non des causes. La médical appartient désormais au monde politique. Il faut donc fonder des instituts de recherche travaillant en toute indépendance, c’est pourquoi l’ARTAC a créé récemment l’Institut Européen de recherche sur le cancer et l’environnement à Bruxelles – (European Cancer and Environment Research Institute).

Notre responsabilité citoyenne a un rôle majeur à jouer dans la société civile. Il s’agit d’un combat militant basé sur notre mobilisation et le bénévolat. Les associations de citoyens sont indispensables et feront le salut de notre monde.

Nous vivons dans un environnement totalement cancérigène : après le scandale de l’amiante, quantité d’autres substances polluantes restent autorisées parce qu’elles favorisent des intérêts économiques à court terme. Les problèmes de santé publique dépendent entièrement des options politiques.

La pollution est généralisés : l’air, l’eau et les sols sont imbibés de produits toxiques, mais ce n’est pas la dose qui crée le problème, c’est la répétition de la dose absorbée journellement. Sont incriminées, en vrac : les goudrons du tabac, les fumées des incinérateurs, les parabènes des cosmétiques, les PBC, les pesticides, les virus, les champs magnétiques responsables de leucémies chez les jeunes enfants et les téléphones portables qui provoquent des Alzheimer et des cancers du cerveau chez des adolescents conditionnés et victimes de l’addiction sociale.

Et dans notre assiette, on trouve du pain frelaté, des additifs, des colorants, des conservateurs, etc… L’avenir de l’agriculture est bien sûr, dans le bio, reste à convaincre les politiques ! Mais tout vient à point : une étude française d’envergure vient d’être publiée, elle compare les mangeurs de bio et ceux qui mangent les aliments industriels et le résultat est sans appel : les gens qui consomment exclusivement des aliments bio contenant zéro pesticide se portent mieux, c’est maintenant prouvé !

Dans ce contexte, il faut bien sûr évoquer les adjuvants vaccinaux, l’aluminium et le mercure, probablement responsable de l’autisme qui atteint aujourd’hui un enfant sur 100. Voici donc quelques mesures à prendre individuellement, car quand le navire sombre, on dit les femmes et les enfants d’abord, car ils portent l’avenir de l’humanité.

Les pics de vulnérabilité se situent entre 0 et 3 ans et entre 15 et 18 ans, période durant laquelle on enregistre une montée en flèche des cancers. Et contrairement à ce qui est préconisé, il ne faut pas vacciner les enfants trop tôt, car leur système immunitaire est immature et ne jamais vacciner les femmes enceintes, c’est une hérésie, cela peut induire des dommages au fœtus, très vulnérable, qui peut être contaminé par les métaux lourds qui pénètrent dans l’utérus maternel, provoquant une atteinte à son cerveau et à son système glandulaire.

Pour mon compte, je considère que certains vaccins restent bénéfiques, mais il faut absolument proscrire le désastreux vaccin Gardasyl, à l’origine de l’invalidité d’au moins 30'000 jeunes filles, aujourd’hui en chaises roulantes, vaccin mis sur le marché pour d’uniques raisons mercantiles.

La médecine environnementale se heurte à une totale impasse face à la médecine conventionnelle qui refuse d’entrer en matière. Tout cela a un coût pour la société humaine dont l’expérience de vie stagne, voir régresse et cette politique est aussi responsable du déficit abyssal de la sécurité sociale.

Guérir un cancer c’est illusoire. Il faut agir en amont et appliquer des règles sanitaires préventives. La société médicale est déconnectée de la réalité et entre les mains d’illuminés de la science, financés par des apprentis sorciers.

Nous vivons dans une société totalement corrompue, dont le système économique ne voit que le profit. Le cynisme de l’UE atteint des niveaux vertigineux : il existe actuellement un règlement européen qui stipule qu’un pesticide mis à l’indexe par l’OMS peut néanmoins être mis sur le marché et le pesticide est jugé vraiment trop toxique pour les européens, on a le droit de le vendre à d’autres populations, si possible du Tiers Monde.

Il s’agit de remettre au plus vite les compteurs à zéro pour supprimer ce système agressif, moralement inacceptable. Certains penseurs comme Edgar Morin, tablent sur une métamorphose des valeurs humaines, Pierre Rabbi attend une insurrection des consciences, moi je pense qu’on a plus le temps :

« Qu’on scrute le ciel, qu’on regarde la Terre, qu’on analyse les problèmes de santé, tous les clignotants scientifiques sont au rouge… »

Il faut appliquer une solution plus radicale, car il s’agit d’un fléau planétaire et dans cette perspective, je ne vois qu’une solution : un mouvement des citoyens pour une révolution mondiale ! »

A l’énonce de cette conclusion surprenante, on aurait entendu une mouche voler dans la salle, mais le public a bien compris le message et s’est manifesté en applaudissant chaleureusement l’audace et le courage du Dr Belpomme.

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