Déploiement de la 5G : le Conseil fédéral s’obstine à aller de l’avant malgré l’opposition de la majorité des Suisses
Association Stop5G – Communiqué de presse du 24 avril 2020
Berne, le 24 avril 2020 – En novembre dernier, la Confédération échouait à se prononcer sur les risques liés à la 5G. Dans ce contexte de forte incertitude politique et scientifique, le 22 avril 2020, le Conseil fédéral annonce vouloir forcerle déploiement de cette nouvelle technologie, alors que selon un récent sondage, une majorité de la population suisse s’y oppose. Dans le même temps, l’abandon, en plein confinement, des mises à l’enquête pour les modifications des antennes existantes en antennes 5G constitue un véritable déni de démocratie.
Au cœur de la grave crise que nous traversons, le Conseil fédéral vient une fois de plus de placer le peuple suisse devant le fait accompli en matière de 5G.
Mieux Prévenir
Comprendre le rapport entre la santé et l'environnement pour mieux protéger nos enfants et les générations futures.
25 avr. 2020
23 avr. 2020
Suisse : Le Conseil fédéral veut développer la 5G, mais prudemment
par ATS, letemps.ch, 22 avril 2020
Alors que la pose de nouvelles antennes 5G se poursuit, le gouvernement charge le DETEC de déterminer l’exposition effective de la population aux rayonnements. Un assouplissement des valeurs limites n’est pas envisagé pour l’instant
L'installation d'une antenne à la Lenzerheide en 2019. © REUTERS/Arnd Wiegmann |
Le Conseil fédéral veut développer le réseau 5G en Suisse, mais il met la pédale douce compte tenu des réticences exprimées par la population, annonce-t-il ce mercredi. Pas question d’assouplir pour l’instant les valeurs limites visant à protéger les gens du rayonnement non ionisant.
Le Département fédéral de la communication (DETEC) devra d’abord éclaircir les choses pour les antennes. Le gouvernement l’a chargé de rédiger une «aide à l’exécution» et de réaliser d’abord des mesures d’essai afin de déterminer de manière transparente l’exposition effective de la population due aux antennes adaptatives.
22 avr. 2020
Effets des champs électromagnétiques sur les infections virales
Effets des champs électromagnétiques sur les infections virales
Jacques Lintermans docteur en sciences et André Vander Vorst professeur émérite UCL
I. Introduction
Parmi les éléments qui alimentent la controverse concernant les effets des champs électromagnétiques (CEM) sur l’organisme humain, l’action éventuelle de ceux-ci sur le système immunitaire n’avait pas jusqu’ici retenu beaucoup l’attention.
Actuellement, cette problématique suscite une vive inquiétude depuis l’apparition d’une épidémie virale que certains soupçonnent avoir été favorisée par une exposition massive de la population à des antennes de téléphonie mobile d’une puissance élevée. (1,2,3)
Il semble rationnel d’admettre que les étapes pouvant conduire à un état pathologique après une exposition massive aux CEM, consistent en une immunodépression chez les sujets exposés, provoquant une fragilisation de leur système de défense et favorisant les infections au contact d’agents pathogènes, en particulier des virus.
Chacune de ces étapes peut faire l’objet d’une analyse détaillée.
II. Exposition aux CEM
Jacques Lintermans docteur en sciences et André Vander Vorst professeur émérite UCL
I. Introduction
Parmi les éléments qui alimentent la controverse concernant les effets des champs électromagnétiques (CEM) sur l’organisme humain, l’action éventuelle de ceux-ci sur le système immunitaire n’avait pas jusqu’ici retenu beaucoup l’attention.
Actuellement, cette problématique suscite une vive inquiétude depuis l’apparition d’une épidémie virale que certains soupçonnent avoir été favorisée par une exposition massive de la population à des antennes de téléphonie mobile d’une puissance élevée. (1,2,3)
Il semble rationnel d’admettre que les étapes pouvant conduire à un état pathologique après une exposition massive aux CEM, consistent en une immunodépression chez les sujets exposés, provoquant une fragilisation de leur système de défense et favorisant les infections au contact d’agents pathogènes, en particulier des virus.
Chacune de ces étapes peut faire l’objet d’une analyse détaillée.
II. Exposition aux CEM
21 avr. 2020
La Suisse veut son appli qui trace les malades du coronavirus
La Suisse veut son appli qui trace les malades du coronavirus
par Dominique Botti, Matin Dimanche / Tribune de Genève, 18 avril 2020Le Conseil fédéral se donne les moyens de réussir son déconfinement. Une application pour smartphone doit permettre de mieux isoler les cas positifs. Présentation d’un projet ultrasensible.
Cette application pour la Suisse ressemblera à n'importe quelle autre, déjà disponible sur un smartphone. Image: Keystone |
Cet outil s’inscrit dans la stratégie nationale de déconfinement qui débutera le 27 avril. Le gouvernement a rappelé que la réouverture de la société s’accompagnera d’un traçage systématique des chaînes de transmission du virus. «Pour ce faire, il est prévu de renforcer les dépistages, d’élaborer une stratégie de suivi des contacts et de développer une application qui permettra de savoir si quelqu’un a été en contact avec une personne infectée.» Présentation de ce projet ultrasensible qui touche à la sphère privée.
ICNIRP : À quand le démantèlement ?
ICNIRP : À quand le démantèlement ?
jay, electrosensible.info, 20 avril 2020
Seuls les faits comptent, et maintenant encore plus que jamais.
Nous sommes tous éreintés et anxieux. Le monde a changé, du jour au lendemain, et nous ne savons pas quand et comment tout cela reviendra à la normal (si l’on peut dire ça ainsi). Une chose dont on ne devrait pas s’en inquiéter est de savoir si oui ou non l’exposition à la technologie 5G est responsable du COVID-19. Ça ne l’est pas. Il n’existe aucune preuve qui suggère le contraire.
De nombreuses données scientifiques ont tendance à démontrer que les rayonnements de type hyperfréquence peuvent affecter les systèmes immunitaires[1]. Mais comme pour tout le reste concernant ces radiations électromagnétiques, les recherches qui auraient dû suivre n’ont pas été faites et personne ne sait avec certitude si le brouillard électromagnétique actuel pourrait nous rendre plus vulnérable aux maladies. J’en reste là sur ce sujet et j’y reviendrais plus tard.
jay, electrosensible.info, 20 avril 2020
Seuls les faits comptent, et maintenant encore plus que jamais.
Nous sommes tous éreintés et anxieux. Le monde a changé, du jour au lendemain, et nous ne savons pas quand et comment tout cela reviendra à la normal (si l’on peut dire ça ainsi). Une chose dont on ne devrait pas s’en inquiéter est de savoir si oui ou non l’exposition à la technologie 5G est responsable du COVID-19. Ça ne l’est pas. Il n’existe aucune preuve qui suggère le contraire.
De nombreuses données scientifiques ont tendance à démontrer que les rayonnements de type hyperfréquence peuvent affecter les systèmes immunitaires[1]. Mais comme pour tout le reste concernant ces radiations électromagnétiques, les recherches qui auraient dû suivre n’ont pas été faites et personne ne sait avec certitude si le brouillard électromagnétique actuel pourrait nous rendre plus vulnérable aux maladies. J’en reste là sur ce sujet et j’y reviendrais plus tard.
La France a raison, les enfants à la maison pendant la pandémie ne devraient pas utiliser le téléphone pendant des heures
La France a raison, les enfants à la maison pendant la pandémie ne devraient pas utiliser le téléphone pendant des heures
par Dr Devra Davis, africadaily.news, 9 avril 2020 - traduction
Les États-Unis devraient suivre l’exemple de la France en matière de test des rayonnements émis par les téléphones portables, écrit Devra Davis, affirmant que nous ne savons toujours pas à quel point les appareils et leurs réseaux sont sûrs.
Le Dr Devra Davis, fondateur d’EHTrust.org, a servi dans l’administration Clinton de 1994 à 1999 et a été membre de l’équipe du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat récompensé par le prix Nobel de la paix 2007
En ces temps inquiétants où un nouveau virus hautement contagieux a mis fin à sa vie comme nous le savions autrefois, nous comptons de plus en plus sur les téléphones portables pour nous permettre d’avoir une certaine connexion avec ceux dont nous nous soucions. Mais, à quel point ces dispositifs essentiels désormais omniprésents et les réseaux sur lesquels ils reposent sont-ils sûrs?
Les États-Unis devraient suivre l’exemple de la France en matière de test des rayonnements émis par les téléphones portables, écrit Devra Davis, affirmant que nous ne savons toujours pas à quel point les appareils et leurs réseaux sont sûrs.
Le Dr Devra Davis, fondateur d’EHTrust.org, a servi dans l’administration Clinton de 1994 à 1999 et a été membre de l’équipe du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat récompensé par le prix Nobel de la paix 2007
En ces temps inquiétants où un nouveau virus hautement contagieux a mis fin à sa vie comme nous le savions autrefois, nous comptons de plus en plus sur les téléphones portables pour nous permettre d’avoir une certaine connexion avec ceux dont nous nous soucions. Mais, à quel point ces dispositifs essentiels désormais omniprésents et les réseaux sur lesquels ils reposent sont-ils sûrs?
17 avr. 2020
Phonegate : [Communiqué] Le Nokia 3.1 enfin épinglé par l’ANFR et son DAS mis à jour
[Communiqué] Le Nokia 3.1 enfin épinglé par l’ANFR et son DAS mis à jour
par Equipe Phonegate 16 avr 2020
Par un communiqué publié le 16 avril 2020, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a annoncé qu’elle avait épinglé un nouveau modèle de Nokia à savoir, le Nokia 3.1. Le débit d’absorption spécifique (DAS) tronc mesuré, en novembre 2019, par le laboratoire agréé allemand CTC Advanced, est de 2,73 W/kg. Soit un dépassement de plus de 30% de la limite légale de 2W/kg.
C’est en quelques mois, le 4éme modèle de la marque a présenté un dépassement de DAS pour ses utilisateurs, après le Nokia 5 et le Nokia 3 en avril 2019 et le Nokia 6.1(TA-1043) en juillet 2019.
par Equipe Phonegate 16 avr 2020
Par un communiqué publié le 16 avril 2020, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a annoncé qu’elle avait épinglé un nouveau modèle de Nokia à savoir, le Nokia 3.1. Le débit d’absorption spécifique (DAS) tronc mesuré, en novembre 2019, par le laboratoire agréé allemand CTC Advanced, est de 2,73 W/kg. Soit un dépassement de plus de 30% de la limite légale de 2W/kg.
C’est en quelques mois, le 4éme modèle de la marque a présenté un dépassement de DAS pour ses utilisateurs, après le Nokia 5 et le Nokia 3 en avril 2019 et le Nokia 6.1(TA-1043) en juillet 2019.
14 avr. 2020
Pourquoi la surveillance technologique n’est pas le bon remède au Covid-19
"Tracer des déplacements via les téléphones portables et les outils de géolocalisation ne peut empêcher la propagation du virus au sein de la population qui est déjà massivement touchée. Une application informatique, la surveillance numérique ne sont ni un vaccin ni un antidote. Le pistage, traçage (tracking) de personnes infectées a du sens uniquement au début de l’infection, lorsqu’il est encore possible d’isoler les personnes atteintes."
Pourquoi la surveillance technologique n’est pas le bon remède au Covid-19
par Solange Ghernaouti, directrice, Swiss Cybersecurity Advisory and Research Group,
OPINION, letemps.ch, 13 avril 2020
OPINION. Le Covid ne doit pas devenir le moteur, à marche forcée, de la transformation digitale au détriment des droits fondamentaux, écrit Solange Ghernaouti, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory and Research Group
(Photo:) Scan d’un code QR indiquant le «code santé» du propriétaire à l’entrée d’une station de métro. Wuhan, Chine, 1er avril 2020. — © Ng Han Guan/AP Photo via Keystone
Pour la majorité d’entre nous, c’est la première fois que nous sommes confrontés à une pandémie. Nous n’y étions pas préparés: pas de masque, pas de désinfectant, pas de test de dépistage, pas de chance… Mais il ne s’agit pas d’avoir la chance de ne pas tomber malade, celle de pouvoir accéder à des soins adaptés ou encore à une place en réanimation. Faire face à une pandémie n’a rien à voir avec de la chance mais avec la capacité des acteurs publics et privés à gérer des infrastructures critiques afin que celles-ci soient disponibles et efficaces, y compris lors de catastrophes de grandes ampleur et intensité. Il s’agit dès lors de savoir anticiper, prévoir, c’est-à-dire investir, organiser, faire et réagir à temps. En sécurité informatique comme en santé, pour gérer une crise, il faut disposer de réserves qui ne servent qu’en cas de crise et être dans une situation de non-dépendance à des tiers pour les mesures de prévention, de protection et de réaction.
Pourquoi la surveillance technologique n’est pas le bon remède au Covid-19
par Solange Ghernaouti, directrice, Swiss Cybersecurity Advisory and Research Group,
OPINION, letemps.ch, 13 avril 2020
OPINION. Le Covid ne doit pas devenir le moteur, à marche forcée, de la transformation digitale au détriment des droits fondamentaux, écrit Solange Ghernaouti, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory and Research Group
(Photo:) Scan d’un code QR indiquant le «code santé» du propriétaire à l’entrée d’une station de métro. Wuhan, Chine, 1er avril 2020. — © Ng Han Guan/AP Photo via Keystone
Pour la majorité d’entre nous, c’est la première fois que nous sommes confrontés à une pandémie. Nous n’y étions pas préparés: pas de masque, pas de désinfectant, pas de test de dépistage, pas de chance… Mais il ne s’agit pas d’avoir la chance de ne pas tomber malade, celle de pouvoir accéder à des soins adaptés ou encore à une place en réanimation. Faire face à une pandémie n’a rien à voir avec de la chance mais avec la capacité des acteurs publics et privés à gérer des infrastructures critiques afin que celles-ci soient disponibles et efficaces, y compris lors de catastrophes de grandes ampleur et intensité. Il s’agit dès lors de savoir anticiper, prévoir, c’est-à-dire investir, organiser, faire et réagir à temps. En sécurité informatique comme en santé, pour gérer une crise, il faut disposer de réserves qui ne servent qu’en cas de crise et être dans une situation de non-dépendance à des tiers pour les mesures de prévention, de protection et de réaction.
8 avr. 2020
France : Coronavirus : une ordonnance passe en douce et facilite l'installation de la 5G (entre autre)
France : Coronavirus : une ordonnance passe en douce et facilite l'installation de la 5G (entre autre)
lemediapourtous.fr, 2 avril 2020
Pendant que la Suisse stoppe le déploiement 5G, la France le facilite...
L’une des ordonnances du gouvernement permettra une liberté presque totale pour les opérateurs de téléphonie d’installer des antennes relais.
Depuis le 23 mars dernier, le gouvernement d’Emmanuel Macron a adopté ving-cinq ordonnances censées lutter contre le coronavirus. Du jamais vu depuis 1958. Si beaucoup ont dénoncé une atteinte à nos acquis sociaux, et notamment la semaine à 60h, l’un de ces décrets est passé plutôt inaperçu. Il concerne, en effet, la téléphonie mobile (retrouvez l’ordonnance sur le site du gouvernement, ici).
Les antennes seront installées sans prévenir les communes
lemediapourtous.fr, 2 avril 2020
Pendant que la Suisse stoppe le déploiement 5G, la France le facilite...
L’une des ordonnances du gouvernement permettra une liberté presque totale pour les opérateurs de téléphonie d’installer des antennes relais.
Depuis le 23 mars dernier, le gouvernement d’Emmanuel Macron a adopté ving-cinq ordonnances censées lutter contre le coronavirus. Du jamais vu depuis 1958. Si beaucoup ont dénoncé une atteinte à nos acquis sociaux, et notamment la semaine à 60h, l’un de ces décrets est passé plutôt inaperçu. Il concerne, en effet, la téléphonie mobile (retrouvez l’ordonnance sur le site du gouvernement, ici).
Les antennes seront installées sans prévenir les communes
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