« Ondes électromagnétiques: quatre constructeurs de smartphones épinglés » 01.net
par phonegatealert.org, 31 mai 2018
Dans un article publié hier sur le site de référence 01.net, la journaliste Camille Suard revient sur les annonces de l’ANFR concernant le retrait et le rappel du smartphone Neffos X1 du constructeur chinois TP-Link ainsi que la mise à jour de l’Alcatel PIXI 4-6 (2,4 W/kg puis 1,58 W/kg après la mise à jour), le TCL Echo Star Plus ( 2,01 W/kg puis 1,41 W/kg) et le Honor 8 ( 2,11 W/kg puis 1,45 W/kg) pour dépassement des seuils réglementaires d’exposition au niveau du corps.
Concernant l’atteinte à l’image des constructeurs, nous sommes tout à fait d’accord avec la journaliste : « Le Honor 8 ( 2,11 W/kg puis 1,45 W/kg)… est un smartphone très populaire, qui a permis notamment à la filiale de Huawei de se forger une bonne réputation sur son rapport qualité/prix. Même si le problème peut être corrigé dir le Honor 8 ( 2,11 W/kg puis 1,45 W/kg). Ce dernier est un smartphone très populaire, qui a permis notamment à la filiale de Huawei de se forger une bonne réputation sur son rapport qualité/prix. Même si le problème peut être corrigé directement par l’utilisateur en installant la dernière mise à jour du téléphone, de telles révélations ne sont jamais une bonne nouvelle pour l’image de la marque. »
Mieux Prévenir
Comprendre le rapport entre la santé et l'environnement pour mieux protéger nos enfants et les générations futures.
31 mai 2018
30 mai 2018
DAS : trois téléphones mis à jour sur injonction de l’ANFR dont un Huawei, un autre modèle retiré de la vente
"Si cette mesure de rappel des téléphones constitue une sanction pouvant être considérée comme particulièrement dure, elle est la conséquence de deux facteurs. Tout d’abord, lorsque la non-conformité aux exigences européennes concernant le DAS est prouvée, les constructeurs ne communiquent que très parcimonieusement à ce sujet. Seuls les propriétaires les mieux informés de ces modèles pouvaient échanger gratuitement leur téléphone portable. De plus, les nouvelles mesures protègent la santé des clients. Établir des sanctions à l’encontre des constructeurs fautifs permet ainsi de garantir la santé publique."
par Clément M., monpetitforfait.com, 30 mai 2018
L’Agence Nationale des FRéquences, ou ANFR, avait préalablement mis en demeure trois téléphones, non-conformes aux exigences européennes concernant le DAS localisé “tronc”. Huawei, TCL et Modelabs Mobile ont procédé à la mise à jour des appareils concernés. L’ANFR atteste donc de la conformité nouvelle aux impératifs des trois téléphones incriminés. L’occasion de revenir sur l’une des missions les moins connues de l’ANFR dans le paysage de la téléphonie, ainsi que sur la notion de DAS.
L’ANFR déclare conformes trois téléphones qui émettaient trop d’ondes par le passé
TP-Link rappelle un smartphone pour rayonnement trop fort
TP-Link rappelle un smartphone pour rayonnement trop fort
europe1.fr, 30 mai 2018
Le Neffos X1 présentait des émissions d'ondes supérieures au plafond autorisé. Le fabricant chinois a décidé du rappel de l'appareil.
Le fabricant chinois de smartphones TP-Link, qui commercialise ses appareils en France sous la marque Neffos, a rappelé l'un de ses modèles pour cause d'émissions d'ondes supérieures aux normes, a appris mardi l'AFP auprès de l'ANFR, l'Agence nationale des fréquences.
L'ANFR réalise environ "80 tests de téléphone" par an, pour vérifier qu'ils respectent les normes d'émission durcies ces dernières années, selon son directeur général, Gilles Brégand.
Dans le cas du smartphone Neffos X1, elle a constaté que l'appareil présentait des émissions d'ondes de 2,52 watts par kilo "sur la face arrière du téléphone", alors que le plafond est de 2 W/kg, a-t-il expliqué. L'ANFR a demandé au constructeur de prendre des mesures correctrices, et celui-ci a décidé de rappeler l'appareil pour l'échanger.
europe1.fr, 30 mai 2018
Le Neffos X1 présentait des émissions d'ondes supérieures au plafond autorisé. Le fabricant chinois a décidé du rappel de l'appareil.
Le fabricant chinois de smartphones TP-Link, qui commercialise ses appareils en France sous la marque Neffos, a rappelé l'un de ses modèles pour cause d'émissions d'ondes supérieures aux normes, a appris mardi l'AFP auprès de l'ANFR, l'Agence nationale des fréquences.
L'ANFR réalise environ "80 tests de téléphone" par an, pour vérifier qu'ils respectent les normes d'émission durcies ces dernières années, selon son directeur général, Gilles Brégand.
Dans le cas du smartphone Neffos X1, elle a constaté que l'appareil présentait des émissions d'ondes de 2,52 watts par kilo "sur la face arrière du téléphone", alors que le plafond est de 2 W/kg, a-t-il expliqué. L'ANFR a demandé au constructeur de prendre des mesures correctrices, et celui-ci a décidé de rappeler l'appareil pour l'échanger.
Dépassement du DAS tronc : Mise à jour de trois téléphones
DÉPASSEMENT DU DAS TRONC: MISE À JOUR DE TROIS TÉLÉPHONES
anfr.org, 29 mai 2018
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) prend acte de la mise à jour par les sociétés TCL, Modelabs Mobiles et Huawei de trois téléphones portables, afin de respecter les valeurs limites de DAS localisé « tronc », à la suite de mesures de contrôles ayant révélé un dépassement de la limite réglementaire autorisée.
Dans le cadre de ses missions de surveillance du marché des équipements radioélectriques et du contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques, l’ANFR a contrôlé les téléphones Alcatel PIXI 4-6’’, Echo Star Plus et Huawei Honor 8.
Des mesures ont été réalisées auprès d’un laboratoire accrédité afin de vérifier la conformité de ces téléphones aux nouvelles exigences européennes concernant le DAS localisé « tronc ». Ces exigences, plus restrictives, s’appliquent progressivement en France depuis le 25 avril 2016. En effet, tous les appareils dont le dossier de mise sur le marché est postérieur à cette date sont désormais évalués à une distance maximale de 5 mm, au lieu de 25 mm au maximum auparavant. Les mesures de l’ANFR ont révélé des valeurs dépassant la limite réglementaire de 2 W/kg.
anfr.org, 29 mai 2018
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) prend acte de la mise à jour par les sociétés TCL, Modelabs Mobiles et Huawei de trois téléphones portables, afin de respecter les valeurs limites de DAS localisé « tronc », à la suite de mesures de contrôles ayant révélé un dépassement de la limite réglementaire autorisée.
Dans le cadre de ses missions de surveillance du marché des équipements radioélectriques et du contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques, l’ANFR a contrôlé les téléphones Alcatel PIXI 4-6’’, Echo Star Plus et Huawei Honor 8.
Des mesures ont été réalisées auprès d’un laboratoire accrédité afin de vérifier la conformité de ces téléphones aux nouvelles exigences européennes concernant le DAS localisé « tronc ». Ces exigences, plus restrictives, s’appliquent progressivement en France depuis le 25 avril 2016. En effet, tous les appareils dont le dossier de mise sur le marché est postérieur à cette date sont désormais évalués à une distance maximale de 5 mm, au lieu de 25 mm au maximum auparavant. Les mesures de l’ANFR ont révélé des valeurs dépassant la limite réglementaire de 2 W/kg.
NEFFOS X1 TP902 : Retrait de commercialisation du téléphone
NEFFOS X1 TP902: RETRAIT DE COMMERCIALISATION DU TÉLÉPHONE
anfr.org, 29 mai 2018
Retrait de la commercialisation et rappel du téléphone NEFFOS X1 TP902 pour dépassement de la limite réglementaire du DAS « tronc »
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) prend acte de la décision de la société TP-Link France de retirer le téléphone portable NEFFOS X1 TP902 de la commercialisation et de rappeler les appareils déjà vendus, à la suite de mesures de contrôles de DAS « tronc » ayant révélé un dépassement de la limite réglementaire autorisée.
Dans le cadre de ses missions de surveillance du marché des équipements radioélectriques et du contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques, l’ANFR a contrôlé le téléphone NEFFOS X1 TP902 importé par la société TP-Link France.
Des mesures ont été réalisées auprès d’un laboratoire accrédité afin de vérifier la conformité de cet appareil aux nouvelles exigences européennes concernant le DAS localisé « tronc ». Ces exigences, plus restrictives, s’appliquent progressivement en France depuis le 25 avril 2016. En effet, tous les appareils dont le dossier de mise sur le marché est postérieur à cette date sont désormais évalués à une distance maximale de 5 mm, au lieu de 25 mm au maximum auparavant. Les mesures ont révélé un dépassement de 0,52 W/kg par rapport à la limite réglementaire de 2 W/kg (Watt par kilogramme) soit une valeur de 2,52 W/kg sur la face arrière du téléphone.
anfr.org, 29 mai 2018
Retrait de la commercialisation et rappel du téléphone NEFFOS X1 TP902 pour dépassement de la limite réglementaire du DAS « tronc »
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) prend acte de la décision de la société TP-Link France de retirer le téléphone portable NEFFOS X1 TP902 de la commercialisation et de rappeler les appareils déjà vendus, à la suite de mesures de contrôles de DAS « tronc » ayant révélé un dépassement de la limite réglementaire autorisée.
Dans le cadre de ses missions de surveillance du marché des équipements radioélectriques et du contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques, l’ANFR a contrôlé le téléphone NEFFOS X1 TP902 importé par la société TP-Link France.
Des mesures ont été réalisées auprès d’un laboratoire accrédité afin de vérifier la conformité de cet appareil aux nouvelles exigences européennes concernant le DAS localisé « tronc ». Ces exigences, plus restrictives, s’appliquent progressivement en France depuis le 25 avril 2016. En effet, tous les appareils dont le dossier de mise sur le marché est postérieur à cette date sont désormais évalués à une distance maximale de 5 mm, au lieu de 25 mm au maximum auparavant. Les mesures ont révélé un dépassement de 0,52 W/kg par rapport à la limite réglementaire de 2 W/kg (Watt par kilogramme) soit une valeur de 2,52 W/kg sur la face arrière du téléphone.
Phonegate : Nouveau retrait et mises à jour pour quatre téléphones portables
[Première réaction] Nouveau retrait et mises à jour pour quatre téléphones portables
par PHONEGATEALERT.ORG, 29 mai 2018
Après l’annonce par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), le jeudi 5 avril 2018, informant que l’opérateur de téléphonie mobile Orange effectuait le retrait par voie d’échange de 90 000 téléphones portables du modèle « Hapi 30 » fabriqués par Mobiwire, c’est au tour de quatre nouveaux smartphones de devoir se mettre en conformité pour dépassement de seuil du Débit d’absorption spécifique (DAS) au niveau du tronc.
Dans un premier communiqué publié sur le site de l’ANFR le mardi 29 mai 2018, l’agence annonce le retrait du marché du téléphone NEFFOS X1 TP902 importé par la société TP-Link France et indique : » Les mesures ont révélé un dépassement de 0,52 W/kg par rapport à la limite réglementaire de 2 W/kg (Watt par kilogramme) soit une valeur de 2,52 W/kg sur la face arrière du téléphone. »
Dans un second communiqué paru le même jour, l’ANFR informe avoir demandé la mise à jour de trois téléphones de marques Alcatel PIXI 4-6’’, Echo Star Plus et Huawei Honor 8.
par PHONEGATEALERT.ORG, 29 mai 2018
Après l’annonce par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), le jeudi 5 avril 2018, informant que l’opérateur de téléphonie mobile Orange effectuait le retrait par voie d’échange de 90 000 téléphones portables du modèle « Hapi 30 » fabriqués par Mobiwire, c’est au tour de quatre nouveaux smartphones de devoir se mettre en conformité pour dépassement de seuil du Débit d’absorption spécifique (DAS) au niveau du tronc.
Dans un premier communiqué publié sur le site de l’ANFR le mardi 29 mai 2018, l’agence annonce le retrait du marché du téléphone NEFFOS X1 TP902 importé par la société TP-Link France et indique : » Les mesures ont révélé un dépassement de 0,52 W/kg par rapport à la limite réglementaire de 2 W/kg (Watt par kilogramme) soit une valeur de 2,52 W/kg sur la face arrière du téléphone. »
Dans un second communiqué paru le même jour, l’ANFR informe avoir demandé la mise à jour de trois téléphones de marques Alcatel PIXI 4-6’’, Echo Star Plus et Huawei Honor 8.
26 mai 2018
Des « preuves claires » que le cellulaire cause le cancer
Des « preuves claires » que le cellulaire cause le cancer
par André Fauteux, maisonsaine.ca, 22 mai 2018
Du jamais vu qui embarrasse l’administration Trump : un comité de révision par des pairs vient de modifier pas moins de sept conclusions tirées par le National Toxicology Program (NTP) américain concernant les résultats de son étude sur des rongeurs exposés aux champs électromagnétiques (CEM) de radiofréquences (RF)/micro-ondes émises par un téléphone cellulaire.
L’étude du NTP fut l’une des plus ambitieuses jamais réalisée à ce jour sur les risques de tumeurs chez des animaux exposés à des RF, ondes classées « peut-être cancérogènes » en 2011 car les gens qui parlent le plus au cellulaire à long terme doublent leur risque de cancer du cerveau (gliome). Commandée en 1999 par la US Food and Drug Administration (FDA), elle a coûté 25 millions de dollars et portait sur 1 568 rats et 1 512 souris. Pendant deux ans, la moitié fut exposée aux ondes neuf heures par jour, par cycles intermittents de dix minutes, tandis que l’autre (le groupe « contrôle ») n’était pas exposée. Les rongeurs exposés étaient soumis à différents débits d’absorption spécifiques (DAS) d’énergie, soit de 1,5, 3 ou 6 watts par kilo. Les signaux étaient de fréquences (900 mégahertz chez les rats et 1 900 mégahertz chez les souris) et de modulations (pulsations) typiques des deuxièmes et troisièmes générations (2G et 3G) de téléphonie cellulaire, utilisées depuis plus de 20 ans. En 2018, l’on commence à déployer la 5G requise par l’Internet des objets et qui pénètre plus profondément dans les tissus vivants.
Des révisions inusitées corroborées par les études antérieures
par André Fauteux, maisonsaine.ca, 22 mai 2018
Du jamais vu qui embarrasse l’administration Trump : un comité de révision par des pairs vient de modifier pas moins de sept conclusions tirées par le National Toxicology Program (NTP) américain concernant les résultats de son étude sur des rongeurs exposés aux champs électromagnétiques (CEM) de radiofréquences (RF)/micro-ondes émises par un téléphone cellulaire.
L’étude du NTP fut l’une des plus ambitieuses jamais réalisée à ce jour sur les risques de tumeurs chez des animaux exposés à des RF, ondes classées « peut-être cancérogènes » en 2011 car les gens qui parlent le plus au cellulaire à long terme doublent leur risque de cancer du cerveau (gliome). Commandée en 1999 par la US Food and Drug Administration (FDA), elle a coûté 25 millions de dollars et portait sur 1 568 rats et 1 512 souris. Pendant deux ans, la moitié fut exposée aux ondes neuf heures par jour, par cycles intermittents de dix minutes, tandis que l’autre (le groupe « contrôle ») n’était pas exposée. Les rongeurs exposés étaient soumis à différents débits d’absorption spécifiques (DAS) d’énergie, soit de 1,5, 3 ou 6 watts par kilo. Les signaux étaient de fréquences (900 mégahertz chez les rats et 1 900 mégahertz chez les souris) et de modulations (pulsations) typiques des deuxièmes et troisièmes générations (2G et 3G) de téléphonie cellulaire, utilisées depuis plus de 20 ans. En 2018, l’on commence à déployer la 5G requise par l’Internet des objets et qui pénètre plus profondément dans les tissus vivants.
Des révisions inusitées corroborées par les études antérieures
24 mai 2018
Pour les autres espèces, les humains sont cancérogènes avance une étude
Pour les autres espèces, les humains sont cancérogènes avance une étude
par Anne-Sophie Tassart, sciencesetavenir.fr, 23 mai 2018
Une équipe internationale de chercheurs est persuadée que l'espèce humaine augmente, par différents processus, le nombre de cancers chez les autres espèces animales. Ils réclament plus d'études sur ce sujet.
"L'espèce humaine peut être définie comme une espèce oncogène modulant l'environnement de manière à causer des cancers chez les autres populations animales", assure une équipe internationale de chercheurs dans une étude parue le 21 mai 2018 dans la prestigieuse revue Nature Ecology & Evolution. Selon eux, il est fort probable que les activités humaines peuvent augmenter le nombre de cancers dans les populations animales "à travers de nombreux processus". Et dans leur étude, les scientifiques affirment également que l'impact des cancers dans les populations d'animaux sauvages est largement sous-estimé.
Pollution, lumière, nourrissage et diversité génétique
par Anne-Sophie Tassart, sciencesetavenir.fr, 23 mai 2018
Tortue marine souffrant de plusieurs tumeurs sur la face.© Eric Gay/AP/SI |
"L'espèce humaine peut être définie comme une espèce oncogène modulant l'environnement de manière à causer des cancers chez les autres populations animales", assure une équipe internationale de chercheurs dans une étude parue le 21 mai 2018 dans la prestigieuse revue Nature Ecology & Evolution. Selon eux, il est fort probable que les activités humaines peuvent augmenter le nombre de cancers dans les populations animales "à travers de nombreux processus". Et dans leur étude, les scientifiques affirment également que l'impact des cancers dans les populations d'animaux sauvages est largement sous-estimé.
Pollution, lumière, nourrissage et diversité génétique
15 mai 2018
Neurinome acoustique et téléphone portable : Témoignage
MIS A JOUR 15 mai 2018 : Voir l'article sur le père en Angleterre qui porte plainte contre Nokia, prétendant que son téléphone mobile a causé une neurinome acoustique.
(Mis on-line sur ce blog le 29 mars 2013)
Les études menées sur les tumeurs cérébrales et l'usage durant 10 ans ou plus d'un téléphone mobile donne une tendance cohérente, celle d'un risque accru de gliome (une variété de tumeur cérébrale dérivée des cellules gliales) et de neurinome acoustique (tumeur bénigne du nerf auditif).
Voir ce témoignage de Margot, qui a eu une tumeur au cerveau (neurinome acoustique) à cause de l'utilisation de son téléphone portable (12 mn - Santépublique Editions - 2011).
En 2009, le Magazine de la santé a présenté un vidéo sur ce type de tumeur:
Le neurinome de l'acoustique - 10 mn. - 2009
(Cliquez ici: http://www.youtube.com/watch?v=GzozvEe5-I8)
Lire aussi l’extrait du Rapport BioInitiative 2007 sur les tumeurs cérébrales et neurinomes acoustiques:
(Cliquez ici: http://www.youtube.com/watch?v=GzozvEe5-I8)
Lire aussi l’extrait du Rapport BioInitiative 2007 sur les tumeurs cérébrales et neurinomes acoustiques:
Royaume-Uni : Père poursuit Nokia, prétendant que l'utilisation de son téléphone portable a causé sa tumeur cérébrale
Père poursuit Nokia en prétendant que l'utilisation de son téléphone portable a causé sa tumeur cérébrale
Neil Whitfield, 60 ans, dit qu'il a développé une tumeur neurinome acoustique en raison de l'utilisation intensive du téléphone pour son travail à la fin des années 1990.
Un vendeur qui a souffert d'une tumeur au cerveau poursuit Nokia pour une compensation "significative" qui pourrait atteindre 1 million de livres sterling - dans un cas qui pourrait coûter une fortune aux entreprises de téléphonie mobile.
par Grace Macaskill, mirror.co.uk, 12 mai 2018
(traduction DeepL - extraits de l'article)Neil Whitfield, 60 ans, dit qu'il a développé une tumeur neurinome acoustique en raison de l'utilisation intensive du téléphone pour son travail à la fin des années 1990.
Neil Whitfield, 60, et sa famille croient que sa tumeur était causée par son téléphone Nokia (Image : Peter Powerll/ Sumday Mirror) |
Le père de six enfants, Neil Whitfield, 60 ans, affirme que la forte utilisation du téléphone mobile à la fin des années 1990 a provoqué une croissance mortelle.
Il a été laissé sourd d'une oreille après une intervention chirurgicale en 2001 pour enlever une croissance de la taille d'une balle de golf. Il souffre également de problèmes d'équilibre.
Neil a dit : "Je n'ai aucun doute que ma tumeur a été causée par les téléphones portables.
Phonegate : Comment se préserver des ondes de nos portables?
Phonegate : Comment se préserver des ondes de nos portables?
par Laetitia, jemangebientoutvabien.com, 4 mai 2018
« Quand on connaîtra le nombre de victimes, nous serons effarés ! » C’est un des plus gros scandales sanitaires que nous allons connaitre, le Phonegate, le scandale lié aux téléphones portables. Marc Arazi est médecin et lanceur d’alerte, il s’intéresse à la question depuis plus de 15 ans.
La problématiques de ces bijoux de technologie nichés dans nos mains, nos poches ou nos sacs à main ce sont les ondes. Les portables émettent et reçoivent des ondes en continu. Ces émissions d’ondes ont été testées par les constructeurs, des normes ont été établies mais on sait désormais que ces normes étaient biaisées : les tests étaient réalisés à 25 mm de la peau…
L’agence nationale des fréquences en France a donc pratiqué ses propres tests et commence depuis quelques jours à rappeler des téléphones qui émettent trop d’ondes.
La problématiques de ces bijoux de technologie nichés dans nos mains, nos poches ou nos sacs à main ce sont les ondes. Les portables émettent et reçoivent des ondes en continu. Ces émissions d’ondes ont été testées par les constructeurs, des normes ont été établies mais on sait désormais que ces normes étaient biaisées : les tests étaient réalisés à 25 mm de la peau…
L’agence nationale des fréquences en France a donc pratiqué ses propres tests et commence depuis quelques jours à rappeler des téléphones qui émettent trop d’ondes.
France : Nouveaux arrêtés sur le DAS : le Ministère de la santé en eaux troubles
phonegatealert.org, 15 mai 2018
Notre association « Alerte Phonegate » a fait parvenir, le 13 mai 2018, ses positions et commentaires sur la consultation organisée par le Ministère des solidarités et de la santé à propos des projets d’arrêtés concernant l’information des consommateurs d’équipements terminaux radioélectriques et l’affichage des Débits d’absorption spécifiques (DAS).
En plein scandale sanitaire et industriel du Phonegate, l’ensemble de ces projets initiaux du ministère nous semblent au minimum décevant et, plus grave, visant principalement à protéger les industriels du secteur plutôt que les utilisateurs de téléphones portables, de tablettes et autres objets connectés.
Nous en appelons à la responsabilité de l’État, et à celle de Madame la Ministre Agnès Buzyn pour que nos différentes propositions soient intégrées à ces projets afin de prendre réellement en compte les enjeux de santé publique et tout particulièrement pour les enfants dans cette affaire.
N’hésitez-pas à nous faire part de vos remarques et propositions concernant ces arrêtés et nos recommandations [sur le site de Phonegate Alert.]
https://www.phonegatealert.org/2018/05/15/nouveaux-arretes-sur-le-das-le-ministere-de-la-sante-en-eaux-troubles/
12 mai 2018
Extension des télécommunications sans fil 5G : Répercussions sur la santé publique et l'environnement
Extension des télécommunications sans fil 5G : Répercussions sur la santé publique et l'environnement
(DeepL translation)
Russell CL. 5G wireless telecommunications expansion: Public health and environmental implications. Environmental Research. Available online 11 April 2018. In press. https://doi.org/10.1016/j.envres.2018.01.016.
Résumé
Russell CL. 5G wireless telecommunications expansion: Public health and environmental implications. Environmental Research. Available online 11 April 2018. In press. https://doi.org/10.1016/j.envres.2018.01.016.
Résumé
La popularité, l'utilisation généralisée et la dépendance croissante à l'égard des technologies sans fil ont donné lieu à une révolution industrielle des télécommunications, le public étant de plus en plus exposé à des fréquences plus larges et plus élevées du spectre électromagnétique pour transmettre des données par le biais d'une variété d'appareils et d'infrastructures. A l'horizon, une nouvelle génération de longueurs d'ondes 5G haute fréquence encore plus courtes est proposée pour alimenter l'Internet des objets (IoT). L'IoT nous promet des modes de vie pratiques et faciles avec un réseau de télécommunications massivement interconnecté 5G, cependant, l'expansion de la large bande avec des radiofréquences à plus courte longueur d'onde souligne la préoccupation des questions de santé et de sécurité qui restent inconnues. La controverse se poursuit en ce qui concerne les dommages causés par les technologies sans fil 2G, 3G et 4G actuelles. Les technologies 5G sont beaucoup moins étudiées pour leurs effets sur l'homme ou l'environnement.
On soutient que l'ajout de ce rayonnement à haute fréquence 5G à un mélange déjà complexe de fréquences plus basses contribuera à un résultat négatif pour la santé publique, tant du point de vue de la santé physique que mentale.
Électrosensibilité : les prémices d’une action de groupe au Canada
Électrosensibilité : les prémices d’une action de groupe au Canada
jay / electrosensible.info, 11 mai 2018
Pour l’instant, les questions concernant l’électrosensibilité et les conséquences des expositions aux champs électromagnétiques provenant des technologies humaines sont dans une zone grise. Du point de vue de la science, nous avons eu droit dernièrement au rapport de l’ANSES qui reconnaît les symptômes des malades mais pas la causalité avec les ondes électromagnétiques. Du point de vue de la recherche, certaines études scientifiques comme celle du NTP rendent plausibles une action cancérogène de certaines de ces technologies sans fil mais qui ne fait toujours pas consensus au sein de la communauté scientifique.
jay / electrosensible.info, 11 mai 2018
Pour l’instant, les questions concernant l’électrosensibilité et les conséquences des expositions aux champs électromagnétiques provenant des technologies humaines sont dans une zone grise. Du point de vue de la science, nous avons eu droit dernièrement au rapport de l’ANSES qui reconnaît les symptômes des malades mais pas la causalité avec les ondes électromagnétiques. Du point de vue de la recherche, certaines études scientifiques comme celle du NTP rendent plausibles une action cancérogène de certaines de ces technologies sans fil mais qui ne fait toujours pas consensus au sein de la communauté scientifique.
10 mai 2018
Suisse : Explications relatives aux capteurs fitness en lien avec les assurances
"Que des tiers puissent avoir accès à des informations relatives à notre état physique (indice de graisse corporelle, rythme du sommeil, fréquence respiratoire ou cardiaque, par ex.) et en tirer des conclusions relatives à notre santé ou à d'éventuelles maladies peut se révéler délicat. L'utilisation de ce type de données personnelles sensibles à des fins contraires à l'intérêt des personnes concernées peut entraîner des inconvénients majeurs."
Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT), Confédération uisse
De plus en plus de personnes enregistrent, sous forme numérique, leurs activités sportives au moyen d’applications fitness présentes sur leur téléphone portable ou d’objets connectés que l’on porte sur soi (autrement dit, les «wearables»). S’amuser à mesurer ses propres paramètres corporels peut être motivant et s’avérer bénéfique pour la santé. Quand les gens s’enregistrent en permanence, ils finissent toutefois par produire une quantité impressionnante d’informations personnelles. Le risque d’une perte de contrôle – et donc d’une atteinte à la protection des données – est bien réel.
7 mai 2018
National Toxicology Program: Peer & Public Review of Cell Phone Radiation Study Reports
Exceptionnellement, en anglais.
Magda Havas, PhD, Trent University
Cindy Russell, MD, Physicians for Safe Technology
Annie J. Sasco, MD, DrPH, SM, MPH, retired Director of Research,INSERM (French NIH); former Unit Chief, IARC-WHO
Association Alerte Phonegate (Dr. Marc Arazi)
National Toxicology Program: Peer & public review of cell phone radiation study reports
saferemr.com, 3 May 2018
More Information:
National Toxicology Program (NTP) Finds Cell Phone Radiation Causes Cancer
Québec : Recours collectif contre manufacturiers et utilisateurs/fournisseurs de technologies sans fil
En 2015 un citoyen du Québec a décidé d'intenter un recours collectif contre une panoplie de manufacturiers et utilisateurs/fournisseurs de technologies sans fil qui exposent la population à une variété de technologies sans fil et ce, malgré la présence grandissante de préoccupations concernant la sécurité de ces technologies et la possibilité d'effets néfastes sur la vie humaine, animale et végétale.
Ondes électromagnétiques : un téléphone retiré du marché
Il s'agit du Hapi 30, retiré du marché le mois passé. D'autres téléphones pourraient être retirés.
Ondes électromagnétiques : un téléphone retiré du marché
par Johan Guillermin, lanouvellerepublique.fr, 5 mai 2018
par Johan Guillermin, lanouvellerepublique.fr, 5 mai 2018
Les émissions d'ondes électromagnétiques de plus de 400 téléphones ont été contrôlées par l'ANFR. © (Photo archives NR, Patrick Gaïda) |
L'appareil apparaît encore sur la boutique en ligne de l'opérateur Orange, mais, comme le précise la mention apposée dans sa fiche, "ce produit n'est plus commercialisé". Téléphone à clapet des plus classiques, le Hapi 30 (fabriqué par la société Mobiwire) est officiellement le premier modèle à s'être fait "rattraper par la patrouille".
4 mai 2018
A utiliser avec modération : et si les portables pouvaient provoquer le cancer du cerveau
À utiliser avec modération: et si les portables pouvaient provoquer le cancer du cerveau
A utiliser avec modération : et si les portables pouvaient provoquer le cancer du cerveau
fr.sputniknews.com, 3 mai 2018
Le nombre de glioblastomes multiformes, la tumeur primitive du cerveau la plus agressive, a doublé au cours de ces 20 dernières années, ce qui pourrait être lié à l’utilisation abusive de la téléphonie mobile, estiment des chercheurs britanniques.
Quel impact ont les portables sur le développement du cancer de cerveau? Si les théories contradictoires foisonnent à ce sujet, aucune réponse unanime n'a été donnée par la science. Néanmoins, la dernière recherche menée par des chercheurs britanniques remet ce sujet au goût du jour, affirmant notamment qu'au cours des 20 dernières années le nombre de glioblastomes multiformes, la tumeur primitive du cerveau la plus agressive, a doublé, écrit la revue Journal of Environmental and Public Health.
Le nombre de glioblastomes multiformes, la tumeur primitive du cerveau la plus agressive, a doublé au cours de ces 20 dernières années, ce qui pourrait être lié à l’utilisation abusive de la téléphonie mobile, estiment des chercheurs britanniques.
Quel impact ont les portables sur le développement du cancer de cerveau? Si les théories contradictoires foisonnent à ce sujet, aucune réponse unanime n'a été donnée par la science. Néanmoins, la dernière recherche menée par des chercheurs britanniques remet ce sujet au goût du jour, affirmant notamment qu'au cours des 20 dernières années le nombre de glioblastomes multiformes, la tumeur primitive du cerveau la plus agressive, a doublé, écrit la revue Journal of Environmental and Public Health.
Inscription à :
Articles (Atom)